Qui va là?[LIBRE]

La vie. Présent de Dieu. Ma la vie peut être aussi un lourd fardeau sur les épaules de celui ou celle à qui elle ne sourit pas. Rejetteé, mit à l'écart, ces personne ne connaissent ni l'amitiée ne la joie. Mais elles ont leurs mondes, leurs mondes à eux, tranquile, dans lequel la quiétude reigne.

Garance fait partit de ces personnes si. Légèrement différente, taciturne, ténébreuse et renfermée, sans amis. Seuls ses parents puvent être considéré comme de personnes qui la connaissent un peu. Et tellement peu d'ailleur! Garance à toujours été une solitaire. Une grande solitaire renfermée et discréte, mais observatrice et moqueuse.

Son plus grand plaisir est de s'éloigner de son village et de partir dans un endroit, en solitaire. Si possile dans un endroit aussi effrayant, dangeureux ou étonnant, en tout les cas calme et ou toute vie est animale ou végétale.

C'est pour cela que ce jourd'hui Garance était partie seule, en direction des marais. Cela n'inquiètait personne. Tout bonnement parceque personne ne connaissait Garance, et que sa mort ne rendrait trite personne, à part bien sur son père et sa mère. Garance n'avait jamais cosé de mal à qui que se soit mais son allure, son visage, son regard surtout, rendait méfiant les habitants. De plus son côté ténébreuse et renfermé n'arrangeait en rien l'amabilité des autre gens du village. Alors quand en plus Garance c'est mise à les espionner, par pur divertissement, ce fut le comble. Personne ne lui parle. Mais de cela, Garance n'a que faire. Elle vie sa vie, tranquille, sans personne. Et peronne ne vient l'embêter dans son monde à elle, ou elle est seule, et cela est parfait.

Garance aimait bien les marais. Eviter les sables mouvents, regarder le miroitement de l'eau sales, s'adosser aux arbres humides, écouter le silence...Faire attention aux bêtes qui pouvait trainer pas là aussi...
Elle arriva au près de l'eau et l'éfleura du bout des doigs, pour voir les cercles grandir, s'éloigner d'elle et de la berge et mourir au millieu du bassin. Ellle s'adossa à un arbre, les cheveux entre mêté. Garance faisait vraiment l'image d'une petite sauvageonne qui vivait en reclus dans la foret. C'était presque ça, après tout.. Les pieds poser à plas par terre, elle vidait sa tête de tout ce a quoi elle pensait et ferma les yeux. On était bien là. Rien ne devait troubler se moment. Un craquement. Quelqu'un venait de faire crquer un morceaux de bois. Quelqu'un s'aventurait par ici. Qui? Qui l'vait suivit jusqu'ici, son endroit secret, son endroit à elle! Qui avait osé? Garance se cacha derrière son arbe et attendit de voir la personne qui s'aventurait dans les marais. Elle ne devait pas avoir froid aux yeux, comme Garance d'ailleur...

"_ Tu te rends compte...une gifle cette fois...mais arrête de jouer comme ça je te parle sérieusement!!!!!...Et voilà que je deviens folle...pfffff...Tu ne m'aides pas vraiment, tu as enfanté l'homme ou pas, si oui explique-moi pourquoi tu ne leur a pas ajouté un brin de perspicacité ou de bonté...Je te parle, oh, tu n'es qu'un vulgaire petit singe joueur, arrête donc!!!...je suis exténuée...Bon dépêche -toi de remonter sur mon dos, allez, j'avais vue ici une plante épaisse, cela arrêtera le sang qui coule de mes lèvres...hum...Cet endroit dégage une odeur pestilentielle, cependant je crois respirer de l'air frais loin du village. Qui voudrait vivre à jamais auprès des Majalis????..........quoi? Tricheur, au moment où j'ai raison tu lèves la main!!!...Tu te souviens, cette Muelleris l'autre jour, elle n'a peut-être pas une existence luxuriante et pleine d'amour, mais je l'envie...Non je ne me plains pas!!...Pas trop, arrête je commence à avoir vraiment mal et mes doigts non plus ne sont pas guéri. En faite, à mon humble avis, si cruel que peuvent être les Muelleris comme se l'imaginent Eustache, Père et les autres. Ils doivent avoir un brin de d'amour fraternel......................Je te vois venir avec tes air farceur, je parle peut-être comme une vieille gâteuse mais toi je t'attacherais bien par les orteils à une liane pour que tu y réfléchisse...Mais, oui bien sûr, tu sais bien que si je suis encore là c'est parce que tu me tiens compagnie jour et nuit...Surtout nuit de plus!!!...Mais ça ne me change rien car il suffit d'observer mes cernes creuses et mes paupières bleues pour comprendre que le sommeil ne m'occupe que très rarement!!!...hum...J'espère que si je rencontre un jour un autre Muelleris, il sera comme elle...
Tu as entendu..."
Je tourne la tête délicatement ma manche collé à la plaie, mon singe suspendue à mon voile. Je me tourne vers un arbre immense et gracieux (comparé aux plantes fébriles du reste de l'étang) Il y a une ombre. C'est humain???...Je m'approche. Zut!!!...Les appels à la prière... Les prêtres nous rassemblent. Oh, j'en ai assez!!...Bon, il vaut mieux ne pas les faire attendre. Je cours vers la forêt tandis que cette ombre m'occupe l'esprit...

Garance, toujours caché derrière son arbre regardait la personne qui s'aventurait par ici.
C'était une jeune fille, du clan adverse. Mais que venait t'elle faire par ici. Garance ce fit aussi fine que pausible et se colla encore plus à l'arbre. Elle parlait. Pourtant Garance était sur de n'avoir vue qu'une seule personne s'avancée par ici. Elle risqua un coup d'oeil. Un animal! La fille parlait à un singe! Qu'elle drôle d'idée. C'est bestiole là ne comprenne rien à rien. Sa mord, sa pue, sa pince, sa crie. En gros sa énerve.

"Tu as entendu..."

Schulrk! La Majalis l'avait réperé. Et son satané singe toujours avec elle n'allait pas tardé à fouinée de son côté! La Majalis tourna la tête vers l'arbre contre lequel Garance se collait par se cacher. Celle si se mordit les lèvres. Ele ne voullait pas voir la nouvelle arrivante. Même si elle était gentille, aimable, ou au contraire comme froide et distante. Personne ne devait s'avoir qu'elle se refugiait ici. Encore moins une Majalis. Encore moins une Majalis avec un diable de singe un bandoulière, qui venait tripoter les cheveux de tout le monde!

La fille s'approcha. Elle devait sentir la présence de Garance, ou voir son ombre. A moins que le singe ne lui est indiqé par on ne sait quel truc étrange. Faut s'attendrz à tout, aavec ses bêtes là. Garance n'aimait pas les aniamux. Sauf les féroces. Les prédateurs dangeureux, les reptiles carnivores. Ceux étaient fassinant, étranges et tellement...beau? Attrayant. Cela convenait mieux. Mais un singe. Beurk. C'était petit, plus de puces, en bref, répugnant, comme l'eau des marais.

La Majalis regardait l'arbre intriguée, comme si elle cherchait à voir à travers. La jeune fille redressa. Les appels à la prières venaient de sonner. Garance se détendit, ouvrant la bouche, remplit maintenant de son propre sang. La Majalis tourna le dos, comme attristée. Elle partie, l'infernale animal sur le dos.

Garance hésitait à la suivre. Connaitre l'autre clan, voir l'autre rive? Garance, curisue et observatrice comme àson habitude était demngée à l'idée de la suivre. Et si elle osait...

Les marais sont immenses. Pour les traverser, mieux vaut avoir du temps, ce que je n'ai guère en ce moment. Il vaut mieux courir. Mon petit singe est bien accroché. Oh, toutes ces eaux boueuses et putrides, si j'avais pu m'y jeter. Il se fait tard, tellement tard....Je me fous de la prière, mais pas des cous que je recevrais si je me fait attendre. J'y repense, à cet ombre. Je me dis, que peut-être, en voyant les territoires dans lesquels je me trouve. Peut-être étais-ce un Muelleris. Ou une Muelleris. Si c'était la jeune de la source...Je dois y retourner...
Qu'était-ce...
Ce bruit...
_ Tu l'as entendu cette fois-ci...
Il se cache sous ma robe.
_Je sais que tu es là...ne me fais pas attendre une minute de plus...Montre-toi, qui que tu sois...

Garance c'était décidé à la rattraper. La fille, un peu plus jeune qu'elle, courait assez vite. La prière, pour eux, c'était vitak. Qu'elle perte de temps oui, soupira Garance.
Et la jeune Mjalis courait, ne voulant surtout pas arriver en retard. Qu'elle étrange chse que de vouloir absolument assister à cela. Les deux clans étaient tellment dffèrent. Et dire qu'il venaient tous d'une même et que maintenant, par la bêtise et l'aveuglement des hommes, ils c'étaient séparés, chaqu'un d'un côté d'une rive... Mais cela sauve arance de la prière, et c'est pas si mal.

Garance continuait de courir, ayant touors en vue la jeune fille. Elle faisait attention de ce mettre derrière les arbres, ou cas où...

-Tu l'as entendu cette fois-ci...

Garance se stopa. Elle parlait à son singe. Elle parlait à son singe d'elle. D'elle qui venait certainement de faire du bruit. Tout comme la fille et on singe au bords des marais tous à l'heure. Elle eut juste le temps de se glisser dans un buisson hat et épais. Elle retint sa respiration et attendit. La jeune Majalis allait vite repartir, pour sa prière, évidament...

Mais en fait, non. Son singe caché sous sa jupe, la jeune fille déclara à voix haute:

-Je sais que tu es là...ne me fais pas attendre une minute de plus...Montre-toi, qui que tu sois...

Garance eut envie de rigoler. Comme si quelqu'un qui depuis tout ce temps se cacheait allait sortir et dire "Coucou, chuis, bien cacher hein!?". Pfff. Garance resta tapis dans on buisson, sur d'autre à l'abrt du regard de l'inconnue. Inconnue qui était assez forte. Entendre Garance, alors que celle si s'entraine depuis son enfance à courir sans bruit. Chapeau. Enffin, personne n'est parfait après tout. Garance ce s'entait à l'aise dans se buisson. Elle ne voulait juste pas que la bestiole poilue vienne fouré son nez humide partout. Qu'elle horible bêbête ce singe!

La colère me prend.
Je commence à en avoir assez d'être suivie à chaque minute de la journée, d'abord par mon frère, mon imbécile de père
_ ET CE CLAN STUPIDE...
alors la personne en question a intérêt à se montrer....
_ C'en est assez...
J'ai repéré le bruit.
Il viens de cet arbre.
Je m’avance lourde et énervée.
Plus j’avance plus je sens que ce petit voyeur se cache.
Le voilà
_ Enchanté très cher, je me trouve fort heureuse que vous ayez eu l'honneur de me suivre ce matin, car votre stupidité m'évitera d'aller prier niaise devant un imbécile d'oiseau.
J'attrape la personne derrière l'arbre.
Je m'arrête.
C'est une jeune fille. Fort jolie. Plus âgée que moi. Après la jeune fille des sources, la jeune fille des marais.
Je me calme...
La tenant par les plis de sa robe, je ne sais que dire.
J'éclate en sanglot et tombe à terre...

-C'en est assez
Oulla, la Majalis n'était pas commode, et déterminée en plus...C'état mal partit pour Garance. Elle se recroquevilla un peu plus, ce voullant discrète mais ne réussi qu'a faire du bruit. Déplorable...

La jeune fille se rapprochait dangeureusement de Garance.

-Enchanté très cher, je me trouve fort heureuse que vous ayez eu l'honneur de me suivre ce matin, car votre stupidité m'évitera d'aller prier niaise devant un imbécile d'oiseau.

Quelqu'un lui attrapa le bras et l'extirpa de sa cachette. Super. Etre découvert par une gamine, une gamine Majalis en plus! Garance auraitput faire mieux tout de même...
Elle releva la tête, fière, et lui fit un sourire carnassier. Son regard encore plus envoutant et sévère que d'habitude. Garance était fâchée. Contre elle même, contre cette fille, contre son imbécile de singe aussi. Pourquoi diable elle avait voulut suivre cette fille? Sa curiosité la perdra.

Garance, toujours les yeux fixés sur la jeune fille, jeune fille qui la enait toujours par sa robe, remarqua que elle aussi, l'observait. Quoi de plus normal. Deux inconnues qui se rencontrent, tout d'abord ça s'obersvent, le regard intrigué et étonné. Après ils commencent à parler. Garance savait très bien que elle, elle n'allait pas parler. Jouer à la muette, c'était son jeu favoris. Mais la Majalis ne parla pas. Elle se mit à pleurer à chaude larme et s'étala par terre.

Mais qu'est cequ'il lui prenait, à celle là? Garance était tenté entre l'aider, juste pour l'obliger à partir, et fuir. Le singe était à côt de la jeune fille. Pas question de s'approcher de cette choses pleine de puces. Garance atte,dit que l'autre ce calme. Elle voullait en savoir plus sur l'autre camp, sur l'autre côté de la rive. Elle s'adossa à un arbre et attendit, patiente.

Mais je suis vraiment une piètre imbécile. Mais pourquoi je pleure??...AH je suis une vraie débile...
Tandis que je pleure comme une idiote sans savoir pourquoi, l'autre me regarde. Elle doit penser que je suis folle. Et encore, si elle avait tort.
C'est une Muelleris, à ce qui me semble.
Je dois lui parler et arrêter de pleurer.
Essuie tes larmes Elizabeth.
_ Excuse-moi pour tout à l'heure...dis-je avec un sourire absolument pas crédible...
Elle me regarde d'un air effrontée.
Et voilà, j'ai trouvée mon égale dans la profession "têtue"
_Je...enfin...bref, comment t'appelles-tu...
Comment t'appelles tu?
Mais pourquoi lui ais-je dit ça, ce n'est pas ça que je voulais dire.
_ Enfin, tu, n'as pas l'air tellement disposée à la charité, moi non plus. Mais pourrais-tu seulement m'adresser un mot...
Il faut que je sache, si les Muelleris méritent l'entendement, comme la jeune fille des sources.
Je souris...
_ ...hum...je sais ce que tu penses, et tu as raison, nous passons nos journées agenouillée devant un oiseau chanteur, nous obéissons à notre père, et nous sommes des imbéciles....Tu as raison. Oui, j'ai deviné ce a quoi tu pensais. De plus. Ils sont mesquins et pitoyable. Tu sais. En te voyant à l'instant j'ai eu pitié...
Et voilà que les larmes me remontent aux yeux.
_...pitié car je lis à l'intérieur des gens, je comprends, ....et tu, tu es solitaire et colérique tout comme moi. Mais, tu es une pleurnicharde. As tu perdue ta mère, te brûles-t-on la main lorsque t(on andouille de frère y inflige une morsure brutale. Te jette-ton des pierres, es-tu...
Je pleure, mais c'est pas possible, à présent c'est moi la pleurnicharde...
_ MAIS DIT QUELQUE CHOSE!!!..

Garance toujours appyuer contre son arbre patientait, gardant l'horrible singe de l'oeil. Manquait plus qu'il vienne vers elle!

La jeune fille essuya ses larmes. Pas trop tot dis donc. Encore quelques secondes et Grance serait partie.

-Excuse-moi pour tout à l'heure...

La Majalis fit un étrnage sourire, un faux sourire. Garance tourna la tête. Des excuses, toujours des excuses....encore et toujours.

-Je...enfin...bref, comment t'appelles-tu...

Garance émit un petit rire, discret. Qu'elle étrnage fille. Comment t'appelle tu? Comme si Garance allait répondre. Deux étrangères, chacune d'un clan énemis, un singe répugnant, et elle tout ce qu'elle trouvait à dire c'était Comment t'appelle tu?. Si la gamine pensait qu'elle allait devenir amie-amie, c'était rapée.

-...hum...je sais ce que tu penses, vraiment, elle sait ce que pense Garance? Bah sa doit pas être jolie jolie ce qu'elle voit. et tu as raison, nous passons nos journées agenouillée devant un oiseau chanteur, nous obéissons à notre père, et nous sommes des imbéciles.... Ah, pour une fois, la Majalis ne dit pas quelque chose d'inutile et de idiot. On progresse dite moi! Tu as raison. Oui, j'ai deviné ce a quoi tu pensais. De plus. Ils sont mesquins et pitoyable. Tu sais. En te voyant à l'instant j'ai eu pitié...

Garance commença à bouillir. Pitié. L'autre à eu pitié d'elle. Et en plus elle se dit liseuse de penser, alors là, sa commence vraiment à devenir n'importe quoi. Garance hésita un instant à partir, après avoir foutue une baffe à l'inconnue. Elle se retint. La Majalis avait les larmes aux yeux. Pfff des larmes de crocodille oui!

-...pitié car je lis à l'intérieur des gens, je comprends, ....et tu, tu es solitaire et colérique tout comme moi. Mais, tu es une pleurnicharde. As tu perdue ta mère, te brûles-t-on la main lorsque t'on andouille de frère y inflige une morsure brutale. Te jette-ton des pierres, es-tu...

Elle lit à l'intérieur des gens. Crément. Qu'elle bonne blague. Elle à la sens de l'humour dite moi? Oui Garance avait un salle caractère et oui elle était seule. Mais parcequ'elle aimait sa. Et bah besoins d'avoir des pouvoir magique pour le deviner. Mais pleurnicharde. Elle? Jamais voyons. La solitude, la trnaquillité, son monde à part, parallèle. Sa c'était sa vie. Mais pleurnicher sur son sort que elle même avait choisit, là non, faut pas abuser quand même.

Pour ce qui est du reste de la phrase, Garance s'en rappelle même plus. Si la Majalis disait avoir de la pitié, pas de chance, Garance en avait pas trop elle. C'est bête...

-MAIS DIT QUELQUE CHOSE!!!..

Garance haussa les épaules. Elle regarda dans la rétine de la jeune fille, sans regard étrange et inoubliable toujours posée sur elle. Si vraiment cette fille lisait dans les pensées, elle devvrait savoir que, non, Garance ne dira rien.

Calme-toi Elizabeth, maintenant. Ouf. Très bien, autant profiter de la situation.
_D'accord. Je te propose de conclure un marché, et arrête de te foutre de moi...Si par hasard tu acceptait de m'emmener, seule, car j'ai bien remarquée que mon petit ami te dégoutait, à la frontière de ton village...en échange de quoi, je te donnerais ce que tu veux...
Mon petit singe grimpe sur mon épaule et frotte son nez humide contre ma joue.
_Tu as entendu, j'ai dis sans toi petit voleur...
Je la regarde.
_Alors...

-D'accord. Je te propose de conclure un marché, et arrête de te foutre de moi...Si par hasard tu acceptait de m'emmener, seule, car j'ai bien remarquée que mon petit ami te dégoutait, à la frontière de ton village...en échange de quoi, je te donnerais ce que tu veux...

Et bein, elle manquait pas de toupet, la Majalis. Dommage pour elle, mais Garance n'était pas du jour à copiner ni à faire des marchés avec les gens. Encore moin avec une inconnue.
De plus, Garance n'avait besoiins de rien. A part un peu de solitude. Bon si, elle voulait juste voir le village Majalis, mais sa, elle pouvai le faire seule. Ou au pire suivre la Majalis, plus discrètement cette fois.

Mais Garance ne pouvait pas résister à la tentation de connaitre un peu plus le clan de l'autre rive. Et elle avait devant elle un "spécimen" de l'autre camps. Autant en profiter. Mais elle avait l'air diffèrent des autres. Toujours à parler à son singe, et surtout, vouloir voir absolument le camp Muelleris. Pourquoi d'ailleur. Vouloir le voir au poing de loupé leur prière sacré, fallait de la volonté, non? Et cela intriguait Garance. Et quand Garance est intriguée, et fait tout pour trouver. Elle décida donc de faire un effort et articula, de sa voix grave et douce à la foi:

- Pourquoi voudrait tu, que, par hasard, je t'emmène dans mon village.

Elle la regarda mauvaisement. Cette fille était trop fouineuse, trop curieuse, trop diffèrente des Majali. Un peu trop comme elle, en sorte.

Mais pour qui elle se prend.Calme toi, calme toi.
_ Je ne sais et cela m'est égal à la rigueur...A vrai dire, j'aurais pu te proposer de...découvrir le mien. Mais, si j'étais toi...
Quelle idiote. Elle pense m'amadouer de telle sorte..

[désolé du retard, j'avais plus d'ordi]

Je ne sais et cela m'est égal à la rigueur...A vrai dire, j'aurais pu te proposer de...découvrir le mien. Mais, si j'étais toi...

Si elle était Garance. Mais si elle était Garace elle comprendrait pas mal de chose à la vie, la gamine. Et son petit: mais si j'étais toi.... Pour qui elle se prenait? Cette Majais, plus jeune qu'elle en plus, fanatique de prière. A non c'est vvrai, elle dit ne pas aimer cela et détester sa famille et les autrs habitants. Peut être le seul poin commun qu'elles ont. Quoique elle, Garace aime ses parents...Mais ce n'est pas la question. Pour quoi cette gamine essayait de jouée les rebelle méprisante et de faire des sortes de menaces incomplète. Garance grinça des dents. Mince, il fallait qu'elle parle, encore...

- Si tu étais moi..., va y, continue...

Garance e la regardait plus de son regard neutre et captivat. Non, elle la regardait avoir u air méprsant et supérieur. La Majalis voulait jouer? Et bien on bva voir qui es la plus forte!

-Si j'étais toi je choisirais plutôt une autre solution que de venir t'engouffrer dans un foison de rats enragés...

La Majalis commençait à s'énerver. Pas possible ça! Pas capable de parler tranquillement sans se mettre en colère. Tous les même...Un foison de rat enragés. Elle avait de l'imagination, la petite. Garance remarqa qu'elle aimait bien la traitée de petite, de gamiine. C'était certainement parceque cette Majalis commençait à devenir soulante, avec ses pactes etc...

Garance n'avait pas l'habtude de s'énerver. En fait elle ne s'énervais qu très rarement. Elle était distante, froide, indiffèrente et taciturne. Donc persone venait l'embêter. Et quand quelqu'un, ar hasard en avait envie, il se décourageait vite parce qu'elle l'ignorait. Mais là, cette gamine éait tellement...énervante! Et en même tant, c'était une Majalis, et l'envie, la curiosité, l'attirance, de découvrir, de conaitre ce clan opposé, de voir des choses nouvelles, dans apprendre plus sur l'autre côté de la rive, c'était une trop grande tentation auqu'elle Garance ne pouvait pas céder. En apprendre pls, découvrir, espioner, c'était sa drogue. Commet résister? Mais passer un pacte avec une gamine, Majalis en plus, et qui par dessus le marcher avait un singe, cela la faisait tout de même hésiter...Elle décida de faire comme si cela n'avait aucune importance, pour chauffer encore plus l'autre fille.

-Et bien moi, si j'étais toi, je parlerais aux gens sur un autre ton.

Garance avait dit cela sans agressivitée, sans méchancetée. Mais avec un regard de dédain, par montrée à cete gamine qu'eele ne voulait rien à ses yeux.

D'accord, cette fois-ci, on va s'y prendre autrement.
Je ne vois pas pourquoi elle s'acharne.
Et puis, pourquoi moi je m'acharne...
_ Bon, je reformule, puisque tu sembles apprécier les conversations n'est-ce pas???...Je ne te demandes que te rendre un tout petit service, serait-ce difficile, une fois dans ta vie, j’espère seulement voir ton clan, prendre conscience de ce que je rate à m'ennuyer dans un arbre, et puis
comme cela fait bien 5 bonnes minutes que nous jouons à ce petit jeu toi et moi, te dire que te parler à beau être un véritable marathon, ........, ça fait du bien de parler à une personne aussi têtue que moi... Je serais prête à....
Non, non, je suis folle, je ne peux pas faire ça.
Oh mais si, je vais me gêner tiens.
Ça leur fera une vengeance dans le nez.
_ Je serais prête à te confier chaque infime secret qu'il coexiste au sein de mon clan...

-Bon, je reformule, puisque tu sembles apprécier les conversations n'est-ce pas??? Garance souit. La Majalis ne semblait pas très destressée......Je ne te demandes que te rendre un tout petit service, petit comment, hein? Pffff serait-ce difficile, une fois dans ta vie,Mais pour qui elle se prenait cella là, à la considérer de la sorte! Quelle pimbêche franchement! j’espère seulement voir ton clan, prendre conscience de ce que je rate à m'ennuyer dans un arbre, ce n'est pas avec sa que Garance allait avoir pitié d'elle. C'était...pathétique! Oui, juste pathétique et puis comme cela fait bien 5 bonnes minutes que nous jouons à ce petit jeu toi et moi, te dire que te parler à beau être un véritable marathon, ........, ça fait du bien de parler à une personne aussi têtue que moi... Je serais prête à.... Cela faisait du bien de parler. Bah si elle veut continuer, il allait falloir avoir plus de patience que ce qu'elle avait montrée par avant. Mais elle serait préte à quoi, la petite Majalis. Elle semblait hésiter, puis finalement se raviser et enfin se décider:

-Je serais prête à te confier chaque infime secret qu'il coexiste au sein de mon clan...

Mouaii, interressant. Elle avait devier que Garace avait un passe temp assez particulier qui était de tout observer et de tout noter. Mais dans son monde, savoir qelque chose sur les Majalis était ce vraiment important. Surtout si elle n'en parlait à persone. Vu qu'elle n'aimait personne et que personne l'aimait...Mais l'idée d'agrandir son carnet de note la tenta...Qu'avait elle à perdre après tout?

-Très bien, mais à une seule condition...

Garance fit une pose, fixa de son regard gris la Majalis puis continua, de sa voix suave mais grave

-....que tu ne pose plus aucune question sur moi ni sur rien d'autre d'ailleur. En faite, autant te taire, voila. Et aussi que tu arrête de "voir" ce qu'il y a dans ma tête

Garance tourna les talons et se dirigea vers le cla Muelleris. Même si elle n'aimait pas les habitants, elle préférait son monde de vie, plûtot que les croyances débile des autres. Alors, malgré la méchanceté des autres, elle se sentait mal. Elle avait l'impressions de les trahir...Et si la Majalis l'avait bernée? Et si depuis le début elle se moquait d'elle? Non, non bien sur que non, elle était tellement diférente de l'idée que Garace c'était fait des Majalis. C'est byzar qu'après toutes ses années, Garance n'en avait jamais vue. Bien sur, des fois, très rarement, une silhouette, une ombre, d'une personne inconnue, mais jamais comme là...c'était...grisant. Garance voulut se montrer de gentille et se retourna pour sourire à la Majalis et l'inviter à la suivre. Et son sourire fut un gros effort pour elle. Peut être est ce son premier sourire? En tout cas, Garance ne se rapellait pas avoir sourit un jour...Etrange. D'habitude, ellefaisait juste des sorte de grimace, plus pour se moquer des gens que pour autres chose...vraiment étrange...Ne cherchons pas à savoir le pourquoi du comment, c'est la meilleur solution pour ne pas trouver. C'est son père qui dis ça, d'habitude...

Peut-être me suis-je trop emportée...
Mais apparemment cela semble avoir porté ses fruits.
La voilà levée, je peux ainsi remarquer qu'elle possède des épaules gracieuses, bien que large, et un corps menu. Peut-être est-ce une bonne fille après tout. Elle sourit.
C'est un sourire charmant, moqueur, mais généreux, si elle se voyait, elle froncerait les sourcils, mais elle fait ressortir les aspects les plus sympathiques de sa personnalités.
Mieux vaut que je fasse de même.
J'attrape mon compagnon par le nuque, et le dépose à terre.
_ Pas cette fois petit farceur...
Elle me fait signe de la suivre.
Soulagée, mais toujours souffrante, je la suit. Elle semble connaître parfaitement l'endroit touffu où elle m'emmène...
Peut-être devrais-je...
_Merci...

-Pas cette fois petit farceur...

La Majalis avait dis cela en posant son singe par terre. Qu'elle horrible bête ce truc.
Elle avençait serainement, connaissant très bien les marais et ses alentoures.En fait elle connaissait toute la jungle. Sauf du côté adverse, ou là, c'était terrain inconnu.

-Merci...

Oula, Garance avait peut être un peu forcée sur la gentilesse. En fait c'était la première fois que quelqu'un lui disait merci. Aussi sincérement en tout cas...Garance ne savait pas trop comment s'y prendre avec cette jeune fille et répondit par un grognement sauvage. En espèrant que la Majalis n'alllait pas insister. Ce qui était mal partit vu son caractère...

Garance avençait vite, pressant le pas à la Majalis. Elle se demandait si c'était une bonne idée de l'emmener, mais maintenant, c'était trop tard pour changer d'avis. Garance ne regardait même pas ou elle allait, elle s'avait exactement le chemin, etse repérer dans la forêt était un jeu d'enfant pour elle. Ses pieds connaissaient par coeur le chemin. Plus on avençait, plus l'odeur se faisait moins pesante, et plus le paysage changeait. On s'enfonçait dans la forêt, humide et chaude, rassurante, réconfortante, protectrice avec ses grands arbres verdâtres, qui laisse à peine voir le ciel.

Garance se demandait comment était le village et la vie de la Majalis. Pour ne pas aimer les siens et vouloir découvrir absolument l'autre camps, il fallait que se soi vraiment horrible et infernale...

-ATTENTION!!!!!!!!...

Garance sursauta. Qu'est ce qu'elle avait encore celle là!? Mais quand Garance vit le loup, agile et discret, et blémit. Oulà, les choses se gatait. Comment avait elle put ne pas l'entendre! Elle était tellement plongée dans ses pensées...Décidèment, aujourd'hui rien n'allait, et Grance allait de surprise en surprise.

Elle n'avait pas forcément peur du loup. Elle aimait bien les grosses bêtes dans le genre. Mais elle n'avait pas envie de mourir. Le loup les regardait, les babines retroussé.

Grance tourna doucement la tête vers la Majalis, qui n'en menait pas large non plus. Garance ssaya de se calmer et de se rapeller de ce que disait son père et de ce qu'il fallait faire dans se genre de situation...

Garance regardait l'animal. Il avait du sang sur le museau. Un petit gourmand on dirait...Garance ne voualit pas le tué. Il était tellement majestueux, et il fallait aussi l'avoué effrayant.

-Ne bouge pas, il est aussi terrifié que nous, ne fais aucun mouvement brusque...

Garance fit un soupir intérieur. Elle n'était pas non plus idiote, elle s'avait ce qu'il fallait faire. Pour ce qui était que le loup soit effrayé, Garance en doutait. Ses yeu reflétait la douleur peut être, mais pas la pitié. Plutot la gourmandise...

Garance glissait lentement vers un arbre le plus proche, dans l'espoir de monter dedans. La Majalis n'avais qu'a faire pareil après tout. En faite Garance pensait plûtot à elle, sur le coup. Elle toucha du bout du doigt l'écorce quand le bruit d'une chute lui fit tourner la tête. Oh non, l'idiote venait de tomber, le pied coincé dans une racine. Elle c'était faite avoir comme un bleu. Pourvue que...oh et mer..le loup n'avait pas rater cela non plus et se jetta sur la pauvre Majalis.

Garance ne sut pas exactement pourquoi ni comment elle avait réussi à faire cela, mais elle avait bondit également, et assit à califourchon sur le loup, elle essaya de l'imobiliser. Bien sur cela rata et il se débarrassa d'elle vite fait grâce à quelque coup de dent et de griffe. Garance roula par terre, écorché aux jambes et le bras lacéré. Si seulement elle arriver à prendre son petit couteau. Il n'était pas très gros, mais il suffirait à blesser le loup et à le faire partir. Du moins Garance l'espèrait. Mais elle avait tellement mal qu'elle pouvait à peine bouger. Et il était dans une de ses poches secrètes dans sa robe...Le loup se drigea vers la Majalis, comme un gourmand vers un gateau aux chocolat. Pourquoi elle, c'était comme si le loup c'était fixé sur la jeune fille. Enfin au moins Grance avait la paix pour sortir son couteau. Ou au moins essayer. Garance réussi tant bien que mal à extirpé son couteau et le lansa désespèrement vers la Majalis. Si elle avait su qu'elle allait lui attiré autant d'ennuie, elle ne l'aurais même pas suivit! Mais d'un côté, elle tenait un peu à elle, finalement...

Garance vit le couteau tournoyer dans les airs, puis les têtes lourdes et les memeres souffrants, elle ferma les yeux et s'alongea. Elle avait un bourdnnement incéssant et cela la faisait souffrir. Elle regardait pas la jeune Majalis. Maintenant elle n'avaiit plus besoins de Garance. Et même si elle avait besoins d'aide Garance ne pouvait rien faire pour elle. Garance était hors service. Un grognement plaintif, un bruit sourd puis le vide. Garance se releva lentement et regarda en direction de la Majalis. Elle gisait là, assise sur les genoux à regarder dans le vide le loup. Le loup qui était mort. Le loup qu'elle venait de tué. Garance sentit que la Majalis était triste. Et encore, c'était un faible mot. Le vide était en elle, et son esprit embrumé.Garance sentit de la pitié pour la jeune fille complétement déprimé. C'était bien la première fois.

Garance se trena difficilement jusuq'a elle et se laissa tomba à ses côtés. Le cadavre du loup n'était pas beau à voir. Le sang dégoulinait de partout et la plait était bien ouverte. Garance mit la main sur l'épaule de la Majalis. Le sang sa attire les charognard, et un loup sa vie en meute. Alors déja que un, sa fait des dégats, avec toute une bande, elles auraient moins de chance!

Garance c'était bien que la Majalis se sentait lâche et ne voulait pas tué ce loup. Mais ce n'était que de la légitime défence! En plus de ça, la pluit cvenait d'arriver.Garance se pencha près de la fille et lui souffla à l'oreille:

-Allez vient, suis moi